Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 23:58

Sur la table de nuit un papier blanc était noirci de quelques mots : « Ma chérie, refais toi une beauté. Cette fois ci, ne te transforme pas en femme fatale, je te veux en pute, en pute dévergondée, en femme salope jusqu’au bout des ongles….On va partir dans un bon resto, des que tu es prête ». J’entendis des éclats de rire sur la terrasse, derrière la maison. Je tirai un peu les rideaux. Moki prenait de l’élan sur le plongeoir. Il m’aperçut et s’appliqua pour tourbillonner dans les airs dans un superbe plongeon. Mon oncle se tourna. Il me fit un grand sourire, quitta sa serviette, s’approcha de moi, posa un baiser sur mes lèvres, et ses mains sur mes fesses…  « Vas y ma chérie, prépare toi. On t’attend. Tu as bien compris, hein ? En une belle pute excitante. » A mon tour je lui posai mes lèvres sur les siennes et massa quelques secondes son sexe, avant de partir sur la pointe des pieds …

 

Lorsque je sortis de la salle de bain, ce soir la, les yeux de mes deux amants s’écarquillèrent. Je posai mon sac a main rempli de mes affaires de maquillage sur le fauteuil. Ils restaient bouche bée. J’avais ramené ma chevelure rousse sur mon épaule droite, nue. Un top, ajouré sur le coté ou il laissait voir ma chair, au motif peau de léopard, recouvrait ma jeune poitrine siliconée, et descendait jusqu’en haut du nombril. Mon short, en vinyle noir laissait dénuder aussi le coté de mes hanches.

Mes longues jambes effilées entaient grisées par des bas très fins, qui tenaient tout seul en haut de mes cuisses. Mes hauts escarpins noirs cambraient ma croupe incendiaire. Dessous, mon soutien gorge et mon string étaient rayes dores et noirs.

J’avais entouré et épaissi mes lèvres d’un crayon brun et les avais recouvert d’un rouge cuivré. Mes yeux bleus ressortaient terriblement bien sous ma chevelure rousse. Ils partaient en amande sur le haut, grâce a des ombres qui passaient de gris anthracite a noir puis marron. J’avais dessiné a l’eye liner, sur mes deux paupières et juste an dessous des yeux, deux traits effilés qui certes durcissaient un peu les traits, mais me donnaient un air très émancipé, un look presque vulgaire, en tout cas, je n’avais pas l’aspect d’une pucelle craintive.

Luc, toujours très rapide se dressa d’un bond, main sur les hanches, suivi de Moki. Ils s’approchèrent. « Tourne-toi, petite pute ! » dit Moki, Je lui obéis pour me trouver soudain en face du grand miroir. Il se plaqua contre moi. Je pressai mes fesses contre son sexe que je sentis énorme à travers son pantalon de toile. Luc passa sa main entre mes jambes : « elle a bien caché son secret la salope de nos rêves ». Il appuya sur mon entrejambe. J’avais réussi en effet, grâce à un épais élastique qui traversait un bout de bas, à tirer très fort contre moi, et en arrière, mon sexe et mes testicules. Il semblait que tout avait disparu, comme par enchantement.

« Bon, les amoureux, on y va » dit Luc en ramassant mon sac. « Ah, j’oubliais, d’abord un petit excitant… » Il, reposa mon sac,  sortit une soucoupe plate qui m’attendait. Il prit le soin d’écraser les cristaux qui semblaient être des cristaux de sel. Puis il roula un billet. Je fis comme j’avais fait auparavant. L’effet ne se fit pas attendre. J’eus de suite envie de jouer à la salope de leur rêve. Mais Luc me pressa dans sa belle voiture. Et Moki me prit par la taille : « toi, tu viens derrière avec moi… ! ». Ses mains contre moi me faisaient du bien. Je voulais qu’il me baise.

 

Sitôt assise contre lui, cuisse contre cuisse, ma main s’enfourna dans la braguette de son pantalon, je m’écartai de lui et a genou sur le siège, ma bouche engloutit son sexe. Lui, d’une main fébrile me baissa mon string. La voiture ne roulait que sur quelques centaines de mètres et déjà, n’en pouvant plus, je me redressai. Le sexe de Moki, charnu et dur se dressait. Jambes écartées, lui tournant le dos, je vins m’empaler sur lui d’une traite, Sa queue arrivait au fond de moi. Chaque virage le faisait se frotter sur ma peau. Ce qui m’arrachait des râles de plaisir. Ses deux mains écartèrent mes genoux. Il parti encore plus profond en moi. Luc nous regardait en conduisant. Parfois dans le rétroviseur. Parfois en tournant rapidement la tète. Une de ses mains me courut sur les cuisses, puis il ouvrit son pantalon. A son tour de montrer son membre. Il commença a se masturber, et il n’eut plus rien a envier a la queue de son ami. Il mit soudain son clignotant et prit dans la forêt un chemin de terre. Sa voiture s’arrêta soudain a l’ombre des pins. Moki me poussa en avant de ses hanches, m’arrachant encore un cri de plaisir. Je basculai en avant. Mon oncle, me prit pas la nuque et dirigea son splendide sexe dans ma bouche. Ils allaient et venaient au même rythme, l’un enfonçant sa bite dans ma bouche, tandis que l’autre la retirait de mon cul. Les veines gonflées sur le membre de Luc étaient presque aussi dures que son sexe. Je fus bientôt hors de la voiture, toujours la bite de Moki en moi, debout, penchée en avant sur celle de Luc qui me caressait le dos de ses mains douces. Il faisait maintenant quasiment nuit. Moki accéléra ses va et vient et poussa un cri de jouissance dans la nuit. Il sortit brusquement sa queue de mon corps et je sentis les jets de son sperme atteindre mes fesses. Mon oncle prit mes deux mains, sortit délicatement son sexe de ma bouche. Il posa mes mains sur le capot de la voiture, me pénétra et très vite explosa en moi, tandis que Moki s’était étendu sur la mousse pour profiter du spectacle. Luc sortit de moi. Je remuais encore ma croupe, encore très excitée. « Elle en veut encore, la petite garce…on te fait faire la pute ? Ok ? » je répondis sans hésiter « oh oui ! ». « OK allez, on t’amène sur le parking des routiers qui n’est pas loin… ». Ils attendirent quelques minutes que je me refasse une beauté. Ma bouche me parut encore plus pulpeuse, mes yeux encore plus aguicheurs. Mon cul encore plus cambre et provocant, haut perche sur mes escarpins, se souvenait de leur chaude pénétration. Ils me firent aspirer.mon excitant favori. « Allez… c’est reparti pour plusieurs tours, ma belle ». Apres peu de temps de conduite, nous arrivâmes sur un grand parking. Luc se gara tout au bout et éteint ses feux. « Allez chérie, fais nous voir ce dont tu es capable ». Je sortis lentement de la voiture. Je descendis un peu mon short afin de laisser apparaître le début de la raie et du galbe de mes fesses et je me mis a marcher d’une façon féline sur le parking. Immédiatement, d’un puis de deux autres cabines de camion garés la, des appels de phare montrèrent que je ne passais pas inaperçue. Je marchai vers le premier. Des deux derniers camions, la portière s’ouvrit de chacun d’eux, deux hommes sortirent. Grands, bruns, musclés, cheveux longs sur le front et la nuque, ils portaient un débardeur et un short moulant de couleur identique. Du camion vers lequel je me dirigeais sortit un homme encore plus beau, en même tenue. Il était blond, et ses cheveux recouvraient ses épaules musclées et bronzées. Son débardeur moulant laissait saillir ses abdominaux. Il partit a l’arrière du camion. Des que je l’eus rejoint, il me prit par la taille, me retourna pour plaquer son sexe contre mes fesses. Lentement il enleva mon short, mon string, tout en m’embrassant les oreilles. Je fus bientôt nu. Il s’appliqua a mettre toutes mes affaires dans mon sac a main. Il me dit de me mettre a 4 pattes et son sexe sortit vigoureusement de son short. Je commençai a le sucer quand je sentis les quatre autres mains courir sur mon corps. Puis des joues râpeuses m’écartèrent les fesses et une longue langue farfouilleuse commença a sucer l’entrée de mon cul avant de s’y insinuer, frétillante, coquine, perverse, vicieuse…Puis plus rien. Puis un gland chaud. J’entendis le mot condom, puis un claquement de caoutchouc,…une main chaude m’appli8qua un lubrifiant très froid mais très vite réchauffé.   Un sexe énorme se projeta en moi.   

Par Jennifer Aparis
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Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 17:28

Mon centre du plaisir

 

Sur cette musique lascive et rythmée a la fois, je me mis a balancer mes hanches, a les faire onduler sensuellement. Luc s’était levé, A un moment, d’une main, je soulevai ma robe. Auparavant tout en haut des cuisses, à la limite des bas, elle découvrait maintenant le haut de mes cuisses. Mon oncle s’approcha il me prit par la talle. Tandis que je continuais a chalouper, volontairement, je fis en sorte d’appuyer le centre de mes fesses sur son bas ventre. Je sentis le relief de son sexe. Et la tout alla très vite. « Viens ! » dit il en me poussant délicatement par la taille, pour que je m assois sur le canapé. Je le pris lui aussi par la taille, moi assise, lui debout puis avec une de mes mains lui caressai le sexe tandis que l’autre ouvrait presque frénétiquement sa braguette. Son beau sexe bronze sortit de son pantalon. Je le portai aussitôt dans ma bouche. Puis le sortit pour l’enfourner de nouveau. Ma langue tournait sur son membre. Je fis en sorte de l’avaler au plus profond de ma gorge. Il poussa un oui de plaisir, il s’assit sur le canapé pendant que je continuais a le sucer. De ses deux mains il enleva ma culotte. Attend ma chérie me murmura-t-il  en se mettant sur le dos, et parvenant a glisser sa tête entre mes genoux écartes Soudain tandis que je couvrais de baisers mouilles le bout de son sexe, je sentis sa bouche mouillée se poser sur l’entrée de mon cul… Ses lèvres se collèrent sur moi,  puis se détachèrent de mon cul qui ondulait de plaisir. Il souffla. L’amplitude de mes ondulations se fit plus faible pour mieux sentir son haleine chaude qui devenait comme un vent de plaisir sur mon orifice mouille de sa bouche. De nouveau il l’embrassa, comme on embrasse éperdument des lèvres. Je sentis soudain qu’il l’aspirait. Je sentis aussi la chair entourant l’intérieur de mon orifice partir dans cette aspiration. Sa langue subitement se mit a farfouiller en moi. Je mouillai mais n’arrivai pas a discerner si cela venait de sa salive ou de mon corps.    

 Je gémissais et ma bouche allait et venait sur son sexe raide, épais, turgescent, quand soudain, de ses deux mains il souleva mes fesses. Ma bouche quitta son gland. Il approcha mon cul de son membre pointe vers le plafond. Et il m’assit sur lui. La résistance a l’entrée fut très faible. Je sentis son membre envahir ma colonne vide qui ne demandait que cela. Il était chaud, glissant comme de l’ huile. Il épousait parfaitement mon intérieur. La musique rythmée envahissait mon cerveau. Je me mis a monter et descendre a son rythme. Je sentis a un moment le bout de son sexe arriver au fond de moi, comme si il atteignait mon centre du plaisir….Je me mis a gémir puis poussai des « oui, prends moi…bien a fon…mmm...mon chéri…» qui semblaient de concert avec ses : « oui ma chérie, la...tu te fais bien baiser...tu aimes ?hein ? Ma petite salope !...), et je répondais « oh oui…j’aime...oui…prends moi, oui… ».Il se redressa assis, m’obligeant en me poussant de ses hanches a me mettre a quatre pattes, sans que son sexe, marié désormais a mon corps, ne s’en détache. Il me tenait les hanches. Nos deux mouvements de va et vient ondulant, faisaient coulisser son sexe dans mon cul si ouvert pour lui. Parfois il le sortait presque puis il le faisait pénétrer tout au fond, soit dans un mouvement très lent, soit d’une façon plus rapide, qui n’avait rien de brusque , mais qui marquait son envie de rester en moi ainsi. Et chaque fois son membre atteignait la cible. Une vague d’un plaisir inouïe me fouetta soudain, alors qu’il maintenait son dard plaque tout au fond de moi. Je le sentis vibrer, serrer mes hanches entre tes mains, il se tut. L’onde inexorable du plaisir envahit mon corps ; je me mis a trembler, d’abord des jambes puis de mes fesses, de mes hanches, de l’entrée de mon cul qui semblait se refermer sur sa queue comme pour mieux l’aspirer. Il poussa un grognement terrible, de son ventre plaqua mes fesses très fort sur le canapé. Je criai un râle de plaisir, long cri de jouissance, accompagne de soubresauts et frissons…Je sentis alors sa semence me remplir, tandis que le mienne s’étalait sur le cuir. Il m’embrassa le cou, sans modération. Il s’abandonna de tout son poids sur moi. Je réussis, a me dégager. Il se tourna, et dans un mouvement encore plein d’envie, je me mis a lécher sa queue. Il se redressa, se mit debout, me souleva comme une plume, m’amena dans sa chambre obscure, me posa sur son lit immense, alluma une veilleuse rouge. Ouvrit les draps soyeux. Nous nous retrouvâmes l’un contre l’autre, jambes enchevêtrées, nous embrassant a pleine bouche. Il me serrait dans ses bras et une de mes mains enserrait son sexe déjà ou encore dur quand nous nous endormîmes. Lorsque je me réveillai, j’étais en position fœtale, lui tournant le dos. Mon oncle dormait, mais son sexe très dur était a l’entrée de mes fesses. Je me levai, et sur la pointe des pieds, partis dans la salle de bains. Devant le miroir, je recommençai minutieusement mon maquillage. Apres l’avoir rendu plus outrancier, notamment en épaississant les lèvres, en noircissant mes paupières et en ombrant davantage le contour de mes yeux, la femme que j’eus alors devant moi me parut un peu plus garce que la précédente, plus allumeuse, plus salope.     Quand je revins dans la chambre, Luc dormait encore. Sur la table de nuit, un tube de lubrifiant était posé la, comme préparé à l’ avance. Il ya avait aussi une assiette, avec une ligne de poudre blanche et un billet de banque roulé. J’esquissai un sourire. « Tout a l’heure… » Pensai-je. Mon oncle dormait…En soulevant le drap je vis son braquemard, tendu. Je décidai de le mettre en moi. Délicatement, je m’étendis sur le lit, J’enduis mon orifice intime de lubrifiant. Il n’était, d’ailleurs, plus aussi intime ce jour la et je poussai mon cul en arrière, faisant en sorte que sa bite se range en moi, tout au fonde de moi. Je l’entendis grommeler de plaisir. Je me rendormis, en essayant d’imaginer ce qu’allaient être ces vacances. Mon oncle m’avait jusqu’alors trouve  homme très doué dans son jardin potager le jour. Il attendait certainement que je sois « femme très douée » dans son jardin secret, nuits et jours.

 

 

Lorsque j’ouvris les yeux, une belle surprise m’attendait. Je compris pour quoi je m’étais éveillé. Le sexe de Luc allait et venait en moi, sur toute sa longueur, a un rythme, lent sauf quand, presque sorti de moi, il s’enfonçait soudain sur plusieurs centimètres, avant de partir dans mes profondeurs les plus intimes. Je fermai les yeux, je sentis ses deux mains chaudes me caresser les hanches, la taille, puis doucement, avec des mouvements circulaires de tous les doigts, tantôt avec les ongles, tantôt avec l’extrémité pulpeuse et chaude de ses doigts, ses mains atteignirent mes seins. Il me pinça doucement en alternant, sein gauche et sein droit, puis les deux ensembles. C’était la première fois que quelqu’un me caressait ainsi les seins. Sa bouche chaude et humide, entourée de ses poils de barbe,  m’embrassait l’oreille. Dans un souffle, il me murmurait des choses à la fois très tendres et très directes : « oui ma petite chatte, remue tes fesses, ouvre les bien, accueille moi en toi. Vas y chérie, bien a fond, la,  ma toute belle tu es a moi et je suis dans ton cul bien chaud…Dans un sifflement, il me susurra : « mets toi a quatre pattes, comme une chienne. Avant qu’il me le répète, je m’installais, bien cambrée au milieu du lit. Son membre, un moment sorti, se replaça a mon entrée, et c’est moi-même qui d’un coup de pouce, le propulsa au fond de mes entrailles. Il coulissait et allait se frottait au fond de moi. Je me mis a gémir de plaisir. Je me mis a frissonner de nouveau. Soudain, la silhouette de Luc se dressa a l’entrebâillement de la porte, un appareil de photo dans les mains….Mais qui était donc en moi? Je me tournai brusquement et je reconnus immédiatement l’homme: Moki, un antillais d’environ 25 ans, grand athlète d’ébène, au torse puissant, aux abdominaux dignes des plus beaux gymnastes. C’était ses mains noires qui tenaient et caressaient mes hanches. Elles continuaient d’ailleurs a un rythme effréné a balancer mon cul d’avant en arrière, en faisant taper l’extrémité de son gland si long, si épais, si dur, au fond de moi. Je m’écriai ; « merde !… » Mais aussitôt, avec un grand sourire aux lèvres, je me tournai vers Luc et son appareil,  je me remis en position, cambrai encore plus mes reins, et me mis a onduler au même rythme.  Luc, pendant ce temps nous mitraillait de prises de vue. Puis il posa l’appareil sur son trépied. J’eus le temps de voir qu’il l’avait mis en position camera. Il se mit a genou devant moi, il m’écarta délicatement les cheveux. Son sexe gonfle sortit de son short qu’il enleva prestement. Je le pris en bouche. Ou plutôt, ma bouche l‘engloutit. Moki et Luc, se mirent a me pénétrer au même rythme. Leurs sexes étaient devenus de véritables bâtons chauds, « Regarde comme elle aime ca, la salope,…Mmmm, on s’est trouve une bonne pute pout tout l’été…On va l’amener partout avec nous, dans nos petites sauteries. On va la présenter a la jet set de Nice..Ils vont se faire un plaisir de justement lui faire découvrir le monde du plaisir…. Je sentis comme mon cul s’ouvrir, le sexe de Moki partir encore plus loin. Je vis sa main noire partir, me caresser le ventre. Sa bite tournoyait tout en allant et venant en moi. J’embrassai à pleine bouche le gland de Luc. Je me dégageai soudain pour laisser l’entrée de mon cul à Luc. « Oui d’accord, chacun son tour…Dix fois l’un et dix fois l’autre » Il s’enfonça, et mon cul se pressa d’aller contre ses cuisses. Il l’avança, l’amena a lui de nouveau. Je pris le sexe noir de Moki dans ma bouche. Lui donna des bisous bruyants sur son extrémité, lui lécha a petits coups de langue l’orifice. Apres plusieurs délicieux coups de piston Luc cria, « Allez Moki a toi, prends la, notre petite pute.. » Le sexe énorme de Moki se glissa en moi comme un serpent. Il entra très loin dans mes fesses qui ne demandaient que cela. . Il se pencha, me prit les deux mains. Les mit dans mon dos. Il me força a me mettre bien a plat ventre. Et soudain, de concert, Luc et Moki poussèrent un terrible râle. Moki sortit son sexe le porta sur mon postérieur et tandis que leur râle se faisait plus fort je sentis le jet de leurs spermes atteindre mes fesses et  mon dos. Ils restèrent a genoux quelques secondes puis se couchèrent a mes cotés. Chacun d’un coté. Je me tournai sur le dos. L’un enfonça deux doigts en moi et me prit un de mes seins entre les doigts. L’autre commença a me pincer le deuxième sein, et entreprit de me masturber très tendrement, puis de plus en plus vite, de nouveau lentement. Encore une fois, un immense tremblement m’envahit. Leurs deux corps muscles de males se plaquèrent contre le mien qui se fit très femelle. J’écartai très largement mes cuisses, et me mis à hurler en les embrassant tous les deux, a pleine bouche l’un après l’autre. Quand je quittais la bouche de l’un il se mettait a me lécher l’oreille, la mordiller, y promener la langue…Je sentis déferler sur moi la rafale de la jouissance, la vague du plaisir, et c’est dans leurs mains réunies sur mon sexe qu’ils caressaient a deux maintenant, que ma semence partit, chaude, blanchâtre, marquant la fin de cette fantastique sieste. Apres cette ébullition de plaisir, leurs baisers se firent moins vifs, mais plus tendres et plus mouilles. Tous les trois, nous nous assoupîmes.

La nuit commença. Elle fut troublée par des étreintes passagères et pleines de sensualité.

 

Parfois je me réveillai en sentant le sexe de mon oncle entrer en moi, parfois ce fut la bouche de Moki qui me léchait le cul avant qu’il ne se couche sur moi, de presque de tout son poids, sexe tendu et pénétrant dans mon antre charnue, mouillé de salive, empli de lubrifiant, ouvert.

 

En me réveillant cette fois ci, je fus presque déçu de ne sentir personne contre moi. Les rideaux, à peine tires, laissaient largement passer la lueur forte du jour. En position fœtale, j’aperçus le réveil. Il était déjà 9 heures du matin. En posant mes mains sur mes cuisses, je sentis leur peau douce et me mis a me caresser langoureusement le ventre, les fesses, les avant bras. L’épilation que j’avais réalisée la veille dans la salle de bain avait porte ses fruits. J’étirai l’ensemble de mes membres, en les écartelant au maximum. Je m’assis sur le bord du lit. A cote du réveil, un petit carton m’invitait : « Rejoins moi a la piscine pour le petit déjeuner ».

 

J’entendis le bruit d’un plongeon et j’aperçus le corps de mon oncle dans la piscine. « J’y vais toute nue », pensai je avec un sourire, décidée a employer désormais le genre féminin pour moi. Haut perche sur mes escarpins, bouche encore bien formée et pulpeuse, léger maquillage aux yeux, je descendis les escaliers en prenant une démarche provocante sans m’en rendre compte. Dégagée de mes chaussures, je me glissai dans l’eau. Elle était d’un bleu azur. Apres quelques brasses, je rejoins Luc. Mes jambes lisses s’enroulèrent autour de sa taille. Il soutint mon cul avec ses mains et m’embrassa a pleine bouche.

« Tu es géniale ma chérie. Moki m’a dit qu’il n’avait jamais été aussi excité, …et c’est comme moi ».En me parlant, il chatouillait du bout de ses doigts l’entrée de me fesses. Je les serrai et me mit debout pour enfermer deux doigts qui se faisaient plus canailles. Il les enfonça un peu plus. Je l’embrassai a pleine bouche. « Bon, on va se prendre le petit déjeuner, d’accord ? »Je lui souris pour acquiescer.

Il sortit de l’eau passa une serviette autour de la taille. « Attends-moi ici ». Quand il revint, j’étais sous le châtaigner, assis au bord de la table. Il amena sur un plateau tout ce qu’il fallait : café, chocolat au lait, toasts, croissants, beurre, miel, confiture.

« Bon, comme au bon vieux temps, on va dresser le programme de la journée…

D’abord ce matin on farniente au bord de la piscine...OK ?

Cet après midi, je dois aller au bureau mais Moki viendra te tenir compagnie jusqu'à 18h. Il a ensuite un rendez vous. Mois j’arriverai vers 19h. Et ce soir je t’amène au resto. Ca te va, ma chérie? ».

Je lui répondis « oui, chéri, bien obligé ! » d’un air boudeur. Il n’allait pas être la l’après midi et la présence de deux hommes a coté de moi m’avait tant excitée. Nous prime avec plaisir nos cafés, chocolats et autres tartines. Et tous les deux, nus sous les rayons un peu cassés par le feuillage du châtaigner nous nous étendîmes sur un grand matelas de plage, épais et doux. Très vite nous nous enlacèrent. Nos jambes se frottaient l’une contre l’autre. Nos mains passaient sur l’entre jambe de l’autre.. Mon oncle pénétrait sa langue chaude dans ma bouche. Elle courait sur mes gencives, s’enroulait autour de ma langue, puis il m’embrassait une de mes oreilles. Sa peau rugueuse et la douceur de sa langue chaude et mouillée me donnaient des frissons. La chair de poule m’envahit. Mon oncle le perçut au bout de ses doigts qui couraient sur mes cuisses. Il me prit mon sexe à pleine main. Je décidai de me retourner pour sentir le sien très raide et très chaud pointer a l’orée de mon cul. Il poussa un peu, l’orienta et puis poussa lentement, subtilement, progressivement, tandis que sa main masturbait mon sexe devenu aussi très dur. Notre étreinte dura ainsi plusieurs minutes. Sa main allait et venait, douce et experte. Je me mis a agiter un peu mes fesses, le forçant a aller plus profond, je poussai même très fort contre lui. En même temps, nous accélérâmes la cadence, lui de sa main enroulée autour de mon sexe moi de mes fesses qui aspiraient sa bite chaude …Dans un cri de plaisir, notre jouissance chaude jaillit, la sienne en moi, la mienne dans ses mains.

Il se dégagea de moi et de nouveau nous nous fîmes face, enroulant nos langues et nos jambes, serrant l’autre contre soi, conscient du degré de plaisir auquel nous étions arrivés.

Ses baisers, même sur ma joue ou dans mon cou, étaient accompagnes de tendres caresses faites du bout de ses doigts, parfois de ses ongles, comme une griffure tendre. « Tu es ma chatte et je suis ton chat ». Tout mon corps prenait plaisir. Ses mains et ses lèvres passaient partout: mon dos, mon ventre, l’intérieur et l’arrière de mes cuisse, mes pieds , mes aisselles.

Puis il se mit sur le dos. « Allez fais moi un bon massage ! »

« D’accord mais un massage sage, mets toi d’abord sur le ventre !» Il obéit aussitôt. Je pris un flacon d’huile solaire qui était la, en versai dans mes mains puis sur ses épaules, et j’entrepris avec la pulpe de mes pouces de lui masser le haut du dos. Mes deux pouces remontèrent de part et d’autre de sa colonne vertébrale dans une pression continue. Puis je recommençai mais cette fois ci en alternant pression et non pression, pour finir dans son cou, haut derrière le crane, la ou s’arrêtent les tendons des muscles d’épaule. Mon oncle ronronnait de plaisir. Et son plaisir me faisait du bien.   

 

Par Jennifer Aparis
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Mercredi 21 mai 3 21 /05 /Mai 01:38

1 Mes vacances chez mon oncle
 
 

 

Tout a commence l’été de mes 16 ans. Comme chaque année, j’allais passer mes deux mois de vacances chez mon oncle Luc.

Lui avait alors 40 ans. je savais qu’il était le Directeur d’une societe chargée de spectacles, société installée a Paris. En été,

Luc venait toujours passer juillet et août dans sa grande villa de l’arrière pays niçois. Depuis mes dix ans, il m’invitait dans cette belle villa provençale, éloignée de deux ou trois kilomètres de la cote. Jusqu'à mes treize ans, ma tante était avec lui. C’était une grande et belle jeune femme, tours vêtue et maquillée d’une façon provocante. Puis, une année, après une terrible dispute, ma tante était partie avec un riche italien qu’elle avait rencontre lors d’une soirée réunissant des notables de la région et des propriétaires, groupe dont mon oncle et sa femme faisaient partie. . Elle avait tout laisse du jour au lendemain.

Même seul, mon oncle tenait a m’inviter. Il me trouvait très vaillant dans son jardin. Je m’en occupais avec plaisir, environ deux a trois heures par jour, le matin.

Lui faisait la plupart du temps la grasse matinée. Il arrivait vers les dix heures sur le balcon de la terrasse, de sa chambre. Il m’appelait pour partager le café avec lui, puis il lisait la presse quotidienne ou les magasines que le facteur lui avait glisses dans la boite aux lettres. Pendant que nous prenions le café, il proposait un déjeuner que lui ou moi nous préparions a la cuisine ou sur le barbecue, sous l’ombre bienveillante d’un châtaigner centenaire. Nous nous installions a l’ombre de ce bel arbre et il dressait le planning de notre après midi toujours très chargé. Nous le passions en effet a la pêche en mer, sur son bateau a moteur, ou a la plage, dans uns salle de squash, ou sur un court de tennis.. Parfois, le soir, quand son groupe d’amis était la,  il m’autorisait a veiller jusqu'à dix heures du soir. Puis ‘Allez petit ! Au lit ! » suffisait pour partir profiter de ma nuit reposante.

 

 

2 A 16 ans, mon arrivée a la gare de Nice – Premier baiser

 

Cette année la, je venais donc d’avoir 16 ans. Il était venu me chercher a la gare de Nice, avec une Ford décapotable. En me voyant, sorti en dernier du train en provenance de Marseille, cheveux blonds et longs jusqu’aux épaules, déjà dore par un séjour dans les Alpes, en short et sac a dos, souriant, content de le retrouver, il avait poussé un cri d’admiration du type : « Wouaou…le beau mec que voila »et pour me chahuter, comme il le faisait souvent, il avait rajoute en se penchant sur moi pour m’embrasser : « Oh pardon, la belle fille blonde que voici »..J’adorais toujours plaisanter avec lui. Un sourire radieux éclaira mon visage. Je mesure 1,78 mètre. J’étais mince (je le suis encore…), presque imberbe. Comme il mesurait bien 15 cm de plus que moi, je m’étais hisse sur la pointe de mes pieds, avais fait en sorte de passer une mèche de cheveux devant mes yeux, pour jouer a la fille espiègle en le regardant droit dans les yeux,  j’avais passe mes mains autour de son cou, une allant dans son dos, l’autre lui remontant lentement dans la nuque, ongle tendus sur sa peau basanée ; je lui avais rendu un sourire boudeur, puis je m’étais frotte a son bas ventre, ondulant mes fesses d’un cote a l’autre, en lui susurrant a l’oreille : « oui je suis ta belle blonde et c’est toi le beau mec, mon chéri, … ». Je comptais me séparer de lui, terminant ainsi cette plaisanterie de notre début d’été, mais un évènement inattendu se produisit alors : ses deux mains chaudes passèrent délicatement en bas de mon sac a dos, puis descendirent tendrement sous mon short, en contact direct avec la peau de mes fesses. Elles frissonnèrent sous l’emprise  de ces mains douces et caressantes. Il me serra un peu plus contre lui, la courbe de ses mains épousant celle de mes fesses cambrées a souhait. Sur l’ensemble de mon corps, je sentis la chair de poule passer de mes fesses, a mon dos, puis recouvrir mes bras en même temps que mes cuisses puis mes jambes. Je sentis alors son sexe et le mien durcir simultanément. On les devinait tous les deux, parallèles, l’un a l’autre, l’un contre l’autre. Il se pressa un peu plus contre moi en tirant vers lui mon postérieur. Je me laissais faire. Alors que nous étions joue contre joue, il recula sa face et m’embrassa sur la bouche, me mordilla mes lèvres. Je me mis a soupirer de plaisir. Il sentit mon émoi. Arrêta un moment, puis reprit de plus belle, en me murmurant « comment va ma petite chatte ? Hein ? cette année je sens que l’on va s’amuser tous les deux, on va s’exciter, se réchauffer… » Ses mots, sa bouche et ses mains me comblaient. Il passa sa langue dans ma bouche et m’embrassa.

 

Allez viens dit il. Il m’enleva délicatement mon sac a dos, me passa son bras libre autour de la taille , prit ma main contre lui autour de la sienne, et comme a mes dix ans, il m’emmena a sa voiture.

3 En voiture, une première « mise en bouche »

 

Nous roulions depuis quelques minutes. Une musique suave emplissait l’air. Il me regarda en souriant. ‘Incroyable ce que tu as change » dit il en souriant. Il regarda mes cuisses nues. Il posa sa main sur l’une d’elle et la caressa. « oh mais tu as des petits poils ma chérie. Il va falloir arranger tout ça. Mais d’abord tu va te prendre une bonne douche à la maison. En parlant, sa main allait et venait sur ma cuisse gauche. Ce qu’il appelait poils était encore un fin duvet. Au lieu de lui dire « arrête » je me surpris a écarter mes cuisses et comme je m’y attendais sa main s’infiltra entre mon short et ma cuisse. Elle se posa sur mon sexe. Il murmura : « mmm dis moi ….qui est le plus excite de nous deux ? » En même temps il pris ma main gauche et la posa sur la braguette de son pantalon. Je sentis a travers l’étoffe comme une pierre. Une pierre cylindrique. Je me mis à la caresser de bas en haut, puis de haut en bas. Son coup d’œil dans le rétroviseur le conforta pour me demander : « suce moi chéri ». Alors délicatement, j’ouvris son pantalon, passa ma main dan s son slip, sortis sa verge, longue, dure, gonflée de plaisir. Je me mis a genoux sur mon siège. Son lecteur de CD passait Only you des Platters.
 J’entamais la première fellation de ma vie, avec un savoir faire que j’ignorais jusqu’alors Nous étions seuls sur l’autoroute de la cote d’azur. Luc gémissait chaque fois que ma langue enroulait son sexe ou lui en titillait l’extrémité. De sa main droite, il baissa mon short et mon slip. Je sentais a la fois l’air et ses mains passer sur les fesses, qu’il flattait en murmurant «Quel beau cul de salope ». Puis il porta ses doigts a la bouche et l’un d’eux, tout mouille, dans un mouvement rotatif lent, appuyant un peu plus fort et un peu plus loin au même passage de chaque tour, s’enfonça en moi. Il continua de le tourner, le faire vibrer. Puis soudain, il le sortit. Me redressa lentement le menton, m’amena a me remettre assise. « Sage ! Sage ! Ma chérie, on traverse le village… patience !»

Apres quelques minutes j’aperçus le grand châtaigner et la blanche bastide. La voiture s’arrêta dans les graviers.

Preparation dans la salle de bain

 

Luc, a l’allure tres sportive, sauta hors de sa voiture, prit mon sac de son coffre.. Allez hop Chéri, viens je vais te montrer ta chambre. Il déverrouilla la serrure électrique et alarme de la villa. L’entrée donnait dans une vaste pièce, le salon, de forme hexagonale. Un grand canapé de cuir rouge en forme de demi cercle était entoure de tapis orientaux. Une des cloisons de près de cinq mètres, constituait un cote de l’hexagone. Elle était désormais un immense miroir qui semblait doubler la surface de cette pièce déjà immense. .Je n’eus que le temps de jeter un rapide coup d’œil a cette nouveaute. Il me pris la main, monta avec moi les escaliers. Il me montra sa chambre et me dit ? Cette année, ta chambre est la…oui…tu va dormir avec moi…D’accord ? En réponse je lui donnai un baiser furtif sur ses lèvres.. J’allais recommencer à le taquiner en me frottant contre lui lorsqu’il intervint. Attends, attends ma chérie….Je veux ralentir un peu notre départ tonitruant. Viens dans la salle de bains, je vais te montrer ». Il passa dans l’immense salle de bains toute de marbre blanc. Il ouvrit un large coffret de maquillage et il ajouta. « Tiens, maquille toi. Je veux que tu te transformes en femme fatale. Tu as une heure pour le faire. Tiens aussi de petit livret conseil pour que tu n’hésites pas trop. Tu verras, c’est facile. ». Il ouvrit un placard. Dedans de nombreuses robes étaient suspendues. Je devinais vite, dans des tiroirs entrouverts, des bas, body et plus bas, plusieurs paires d’escarpins formaient une symphonie de couleurs. Sur l’étagère du haut, une perruque aux longs cheveux roux et une autre aux cheveux blonds étaient posées sur deux bustes de polystyrène. 

« Allez je te laisse…Dans une heure je t’appelle. Je te veux sexy, érotique…et je te donnerai autre chose pour que tu le sois encore plus… « Tourne toi ! » me lanca-t-il il. Et alors que je nous regardais dans le miroir, il me pris les épaules, pencha son visage et me mordilla le cou. Frissons. « Allez je m’en vais. Verrouille ta porte sinon, je vais commettre un viol » dit il en riant. Il sortit de la salle d’eaux. Je tournai le verrou dore.

 

J’étais au milieu de ce marbre blanc, en face d’un grand miroir qui renvoyait les images des robes, chaussures et cette mallette grise. A la fois excitée par tout ce que je venais de vivre, presque hésitante néanmoins a aller de l’avant. Mon oncle était il devenu fou ? Et moi ? Qu’étaient donc tous ces frissons qui avaient balayaient mon corps en me procurant tant de plaisir ?

Un gros tube de crème dominait les autres, une crème épilatoire. Je pensais a la réflexion de mon oncle quand il m’avait caressé les cuisses et aussitôt, je décidais d’éliminer ce qui avait éveillé sa seule remarque négative de la matinée.

Je me mis tout nu, toute nue, devant le miroir, m’assit sur un tabouret, posa ma montre sur une console, et commença a étaler la crème copieusement sur les jambes, mes avant bras. Une seule zone restait poilue alors, celle du pubis. Je décidai de la traiter et m’enduisit de crème.

Il fallait laisser agir 10 minutes. Je pris le temps de lire le petit document qui résumait parfaitement l’art pour une femme de se maquiller en mettant en valeur les points positifs et en masquant ceux qui le sont moins.

 

Environ une demie heure plus tard, le miroir renvoyait de moi une image dont je ne revenais pas moi-même. La peau de mon corps était d’une couleur naturelle uniforme. Mon pubis, lisse était d’une douceur sublime, tout comme mes fesses bombées et fermes, dépourvues de tout poil.. Mes yeux en amandes étaient agrandis par un coup de crayon blanc sur la partie interne basse de l’œil et un dégrade de plus clair a plus fonce qui partait du coin interne de chaque œil et remontait vers la partie externe, juste au commencement de chaque tempe. Un trait noir se terminait très effilé. Le bleu foncé externe était surmonté d’un marron pailleté de dore donnant un air de fête a l’ensemble. La couleur ambre de mes joues, le ton clair entourant mes yeux allaient de pair avec mes lèvres rendues soudain plus sensuelles parce que épaissies avec un coup de crayon a lèvres brun. Il éloignait bien de trois millimètres la limite de ma lèvre inférieure et supérieure. J’avais fait en sorte que le dessin de ma bouche épaisse donne l’impression d’un léger sourire. Le sourire était a la fois boudeur, énigmatique, enjôleur,…

   

Voila quarante minutes que je me préparais. J’étais en train de vaporiser sur mon corps des nuages du parfum Samsara de Guerlain, quand Luc, mon oncle, tapa à la porte. « Ouvre ma chérie, je t’amène quelque chose qui va te faire du bien… ». J’ouvris le verrou de la salle de bain et entrouvris la porte. Sans se montrer, Luc glissa une assiette de céramique bleue foncée sur le sol de la salle de bains. Au milieu de l’assiette, un morceau de paille rose côtoyait une ligne de même longueur, disons huit centimètres, de poudre blanche. « Ma chérie, tu fermes avec l’index de la main gauche ta narine du même cote ; avec l’autre main, tu prends la paille, tu la mets dans la narine ouverte et tu inspires la bande de poudre  par cette narine en allant tout au long de la ligne, sans t’arrêter. Compris ma chérie ? Je répondis en souriant « compris mon chéri ».

 

Je me mis a genou et suivis ses conseils. Apres avoir profondément expire, et tenant la paille entre la ligne et une de mes narines, bouchant l’autre, je me mis a fortement inspirer,

Immédiatement, je me sentis bien. Très détendue. Je pris un tube de crème parfumée et m’en étalai sur le ventre, les épaules, les fesses.

Alors que mes mains se faisaient caressantes sur mon corps lisse mais devenu crémeux, j’eus soudain envie d’être très provocante, très femme…

Des sachets de bas emplissaient une des corbeilles de l’étagère du placard. Des bas qui tenaient tout seuls en haut des cuisses. J’ouvris délicatement un emballage de bas noir. Et avec précaution, l’un après l’autre j’enfilai mon pied dans l’ouverture du bas pour le faire glisser en haut de mes cuisses. Ils étaient doux, caressants, C’était des bas de soie et lycra. A chaque passage sur mes cuisses, je croyais sentir la main effrontée mais si douce de mon oncle.

Un détail était a régler : la dissimulation de mon sexe. Il fallait que j’aille vite. C’était sans doute cette fameuse poudre blanche qui m’enlevait toute inhibition et me faisait dépêcher pour aller au plus tôt retrouver mon oncle. Je trouvais un string très élastique, large sur le devant, a rayures dorées et noires. Je l’enfilais prestement. Un soutien gorge de mêmes couleurs, avec de belles formes formant une petite poitrine excitante sur mon torse nu compléta la partie sous vêtement  Puis, j’enfilai sans difficulté les escarpins noirs que jadis, j’avais aperçus aux pieds de ma tante.

Maintenant, dans le miroir, une haute créature mince, souple, au cul rebondi et ferme, au sourire énigmatique, me regardait. C’était moi !

Je me souris, passa ma langue sur ma lèvre inférieure.

J’avais l’impression d’avoir devant moi une jeune femme très tournée sur le sexe, l’érotisme. Je posai mes deux mains l’une contre l’autre sur le lavabo. Lentement je ondulais des hanches, j’avais envie de partir sucer son sexe, de sentir ses mains sur moi, son doigt en moi, son sexe entrer en moi. J’enfilai une mini robe tres moulante rouge, ajourée largement sur les deux cotes.. Les ouvertures laissaient deviner mon string et le soutien gorge. Je me mis avec soin a brosser la perruque de long cheveux roux puis l’enfila….Extraordinaire moment que de découvrir le résultat de cette heure de soins personnels. Je fis en sorte de tirer l’ensemble des cheveux roux sur le cote droit. Sur le cote gauche ils recouvraient en passant mon oreille. Dans la boite a bijoux, je trouvai deux boucles d’oreille de type gitane, rouge comme la robe.

Une musique très sexy, celle de Don’t cha des Pussycats dolls retentit dans le salon. Je souris devant le miroir . Haut perchée sur mes escarpins, j’ouvris sans bruit la porte de la salle de bains et pénétra dans le salon, en direction de son grand miroir….

 

 

Suite Bientot   Bises     Jennifera75@hotmail.fr

Par Jennifer Aparis
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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 19:29
 




Par Jennifer Aparis
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Lundi 14 avril 1 14 /04 /Avr 09:18





















































































Par Jennifer Aparis
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