Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 23:58

Sur la table de nuit un papier blanc était noirci de quelques mots : « Ma chérie, refais toi une beauté. Cette fois ci, ne te transforme pas en femme fatale, je te veux en pute, en pute dévergondée, en femme salope jusqu’au bout des ongles….On va partir dans un bon resto, des que tu es prête ». J’entendis des éclats de rire sur la terrasse, derrière la maison. Je tirai un peu les rideaux. Moki prenait de l’élan sur le plongeoir. Il m’aperçut et s’appliqua pour tourbillonner dans les airs dans un superbe plongeon. Mon oncle se tourna. Il me fit un grand sourire, quitta sa serviette, s’approcha de moi, posa un baiser sur mes lèvres, et ses mains sur mes fesses…  « Vas y ma chérie, prépare toi. On t’attend. Tu as bien compris, hein ? En une belle pute excitante. » A mon tour je lui posai mes lèvres sur les siennes et massa quelques secondes son sexe, avant de partir sur la pointe des pieds …

 

Lorsque je sortis de la salle de bain, ce soir la, les yeux de mes deux amants s’écarquillèrent. Je posai mon sac a main rempli de mes affaires de maquillage sur le fauteuil. Ils restaient bouche bée. J’avais ramené ma chevelure rousse sur mon épaule droite, nue. Un top, ajouré sur le coté ou il laissait voir ma chair, au motif peau de léopard, recouvrait ma jeune poitrine siliconée, et descendait jusqu’en haut du nombril. Mon short, en vinyle noir laissait dénuder aussi le coté de mes hanches.

Mes longues jambes effilées entaient grisées par des bas très fins, qui tenaient tout seul en haut de mes cuisses. Mes hauts escarpins noirs cambraient ma croupe incendiaire. Dessous, mon soutien gorge et mon string étaient rayes dores et noirs.

J’avais entouré et épaissi mes lèvres d’un crayon brun et les avais recouvert d’un rouge cuivré. Mes yeux bleus ressortaient terriblement bien sous ma chevelure rousse. Ils partaient en amande sur le haut, grâce a des ombres qui passaient de gris anthracite a noir puis marron. J’avais dessiné a l’eye liner, sur mes deux paupières et juste an dessous des yeux, deux traits effilés qui certes durcissaient un peu les traits, mais me donnaient un air très émancipé, un look presque vulgaire, en tout cas, je n’avais pas l’aspect d’une pucelle craintive.

Luc, toujours très rapide se dressa d’un bond, main sur les hanches, suivi de Moki. Ils s’approchèrent. « Tourne-toi, petite pute ! » dit Moki, Je lui obéis pour me trouver soudain en face du grand miroir. Il se plaqua contre moi. Je pressai mes fesses contre son sexe que je sentis énorme à travers son pantalon de toile. Luc passa sa main entre mes jambes : « elle a bien caché son secret la salope de nos rêves ». Il appuya sur mon entrejambe. J’avais réussi en effet, grâce à un épais élastique qui traversait un bout de bas, à tirer très fort contre moi, et en arrière, mon sexe et mes testicules. Il semblait que tout avait disparu, comme par enchantement.

« Bon, les amoureux, on y va » dit Luc en ramassant mon sac. « Ah, j’oubliais, d’abord un petit excitant… » Il, reposa mon sac,  sortit une soucoupe plate qui m’attendait. Il prit le soin d’écraser les cristaux qui semblaient être des cristaux de sel. Puis il roula un billet. Je fis comme j’avais fait auparavant. L’effet ne se fit pas attendre. J’eus de suite envie de jouer à la salope de leur rêve. Mais Luc me pressa dans sa belle voiture. Et Moki me prit par la taille : « toi, tu viens derrière avec moi… ! ». Ses mains contre moi me faisaient du bien. Je voulais qu’il me baise.

 

Sitôt assise contre lui, cuisse contre cuisse, ma main s’enfourna dans la braguette de son pantalon, je m’écartai de lui et a genou sur le siège, ma bouche engloutit son sexe. Lui, d’une main fébrile me baissa mon string. La voiture ne roulait que sur quelques centaines de mètres et déjà, n’en pouvant plus, je me redressai. Le sexe de Moki, charnu et dur se dressait. Jambes écartées, lui tournant le dos, je vins m’empaler sur lui d’une traite, Sa queue arrivait au fond de moi. Chaque virage le faisait se frotter sur ma peau. Ce qui m’arrachait des râles de plaisir. Ses deux mains écartèrent mes genoux. Il parti encore plus profond en moi. Luc nous regardait en conduisant. Parfois dans le rétroviseur. Parfois en tournant rapidement la tète. Une de ses mains me courut sur les cuisses, puis il ouvrit son pantalon. A son tour de montrer son membre. Il commença a se masturber, et il n’eut plus rien a envier a la queue de son ami. Il mit soudain son clignotant et prit dans la forêt un chemin de terre. Sa voiture s’arrêta soudain a l’ombre des pins. Moki me poussa en avant de ses hanches, m’arrachant encore un cri de plaisir. Je basculai en avant. Mon oncle, me prit pas la nuque et dirigea son splendide sexe dans ma bouche. Ils allaient et venaient au même rythme, l’un enfonçant sa bite dans ma bouche, tandis que l’autre la retirait de mon cul. Les veines gonflées sur le membre de Luc étaient presque aussi dures que son sexe. Je fus bientôt hors de la voiture, toujours la bite de Moki en moi, debout, penchée en avant sur celle de Luc qui me caressait le dos de ses mains douces. Il faisait maintenant quasiment nuit. Moki accéléra ses va et vient et poussa un cri de jouissance dans la nuit. Il sortit brusquement sa queue de mon corps et je sentis les jets de son sperme atteindre mes fesses. Mon oncle prit mes deux mains, sortit délicatement son sexe de ma bouche. Il posa mes mains sur le capot de la voiture, me pénétra et très vite explosa en moi, tandis que Moki s’était étendu sur la mousse pour profiter du spectacle. Luc sortit de moi. Je remuais encore ma croupe, encore très excitée. « Elle en veut encore, la petite garce…on te fait faire la pute ? Ok ? » je répondis sans hésiter « oh oui ! ». « OK allez, on t’amène sur le parking des routiers qui n’est pas loin… ». Ils attendirent quelques minutes que je me refasse une beauté. Ma bouche me parut encore plus pulpeuse, mes yeux encore plus aguicheurs. Mon cul encore plus cambre et provocant, haut perche sur mes escarpins, se souvenait de leur chaude pénétration. Ils me firent aspirer.mon excitant favori. « Allez… c’est reparti pour plusieurs tours, ma belle ». Apres peu de temps de conduite, nous arrivâmes sur un grand parking. Luc se gara tout au bout et éteint ses feux. « Allez chérie, fais nous voir ce dont tu es capable ». Je sortis lentement de la voiture. Je descendis un peu mon short afin de laisser apparaître le début de la raie et du galbe de mes fesses et je me mis a marcher d’une façon féline sur le parking. Immédiatement, d’un puis de deux autres cabines de camion garés la, des appels de phare montrèrent que je ne passais pas inaperçue. Je marchai vers le premier. Des deux derniers camions, la portière s’ouvrit de chacun d’eux, deux hommes sortirent. Grands, bruns, musclés, cheveux longs sur le front et la nuque, ils portaient un débardeur et un short moulant de couleur identique. Du camion vers lequel je me dirigeais sortit un homme encore plus beau, en même tenue. Il était blond, et ses cheveux recouvraient ses épaules musclées et bronzées. Son débardeur moulant laissait saillir ses abdominaux. Il partit a l’arrière du camion. Des que je l’eus rejoint, il me prit par la taille, me retourna pour plaquer son sexe contre mes fesses. Lentement il enleva mon short, mon string, tout en m’embrassant les oreilles. Je fus bientôt nu. Il s’appliqua a mettre toutes mes affaires dans mon sac a main. Il me dit de me mettre a 4 pattes et son sexe sortit vigoureusement de son short. Je commençai a le sucer quand je sentis les quatre autres mains courir sur mon corps. Puis des joues râpeuses m’écartèrent les fesses et une longue langue farfouilleuse commença a sucer l’entrée de mon cul avant de s’y insinuer, frétillante, coquine, perverse, vicieuse…Puis plus rien. Puis un gland chaud. J’entendis le mot condom, puis un claquement de caoutchouc,…une main chaude m’appli8qua un lubrifiant très froid mais très vite réchauffé.   Un sexe énorme se projeta en moi.   

Par Jennifer Aparis
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