Lundi 16 juin 1 16 /06 /Juin 17:28

Mon centre du plaisir

 

Sur cette musique lascive et rythmée a la fois, je me mis a balancer mes hanches, a les faire onduler sensuellement. Luc s’était levé, A un moment, d’une main, je soulevai ma robe. Auparavant tout en haut des cuisses, à la limite des bas, elle découvrait maintenant le haut de mes cuisses. Mon oncle s’approcha il me prit par la talle. Tandis que je continuais a chalouper, volontairement, je fis en sorte d’appuyer le centre de mes fesses sur son bas ventre. Je sentis le relief de son sexe. Et la tout alla très vite. « Viens ! » dit il en me poussant délicatement par la taille, pour que je m assois sur le canapé. Je le pris lui aussi par la taille, moi assise, lui debout puis avec une de mes mains lui caressai le sexe tandis que l’autre ouvrait presque frénétiquement sa braguette. Son beau sexe bronze sortit de son pantalon. Je le portai aussitôt dans ma bouche. Puis le sortit pour l’enfourner de nouveau. Ma langue tournait sur son membre. Je fis en sorte de l’avaler au plus profond de ma gorge. Il poussa un oui de plaisir, il s’assit sur le canapé pendant que je continuais a le sucer. De ses deux mains il enleva ma culotte. Attend ma chérie me murmura-t-il  en se mettant sur le dos, et parvenant a glisser sa tête entre mes genoux écartes Soudain tandis que je couvrais de baisers mouilles le bout de son sexe, je sentis sa bouche mouillée se poser sur l’entrée de mon cul… Ses lèvres se collèrent sur moi,  puis se détachèrent de mon cul qui ondulait de plaisir. Il souffla. L’amplitude de mes ondulations se fit plus faible pour mieux sentir son haleine chaude qui devenait comme un vent de plaisir sur mon orifice mouille de sa bouche. De nouveau il l’embrassa, comme on embrasse éperdument des lèvres. Je sentis soudain qu’il l’aspirait. Je sentis aussi la chair entourant l’intérieur de mon orifice partir dans cette aspiration. Sa langue subitement se mit a farfouiller en moi. Je mouillai mais n’arrivai pas a discerner si cela venait de sa salive ou de mon corps.    

 Je gémissais et ma bouche allait et venait sur son sexe raide, épais, turgescent, quand soudain, de ses deux mains il souleva mes fesses. Ma bouche quitta son gland. Il approcha mon cul de son membre pointe vers le plafond. Et il m’assit sur lui. La résistance a l’entrée fut très faible. Je sentis son membre envahir ma colonne vide qui ne demandait que cela. Il était chaud, glissant comme de l’ huile. Il épousait parfaitement mon intérieur. La musique rythmée envahissait mon cerveau. Je me mis a monter et descendre a son rythme. Je sentis a un moment le bout de son sexe arriver au fond de moi, comme si il atteignait mon centre du plaisir….Je me mis a gémir puis poussai des « oui, prends moi…bien a fon…mmm...mon chéri…» qui semblaient de concert avec ses : « oui ma chérie, la...tu te fais bien baiser...tu aimes ?hein ? Ma petite salope !...), et je répondais « oh oui…j’aime...oui…prends moi, oui… ».Il se redressa assis, m’obligeant en me poussant de ses hanches a me mettre a quatre pattes, sans que son sexe, marié désormais a mon corps, ne s’en détache. Il me tenait les hanches. Nos deux mouvements de va et vient ondulant, faisaient coulisser son sexe dans mon cul si ouvert pour lui. Parfois il le sortait presque puis il le faisait pénétrer tout au fond, soit dans un mouvement très lent, soit d’une façon plus rapide, qui n’avait rien de brusque , mais qui marquait son envie de rester en moi ainsi. Et chaque fois son membre atteignait la cible. Une vague d’un plaisir inouïe me fouetta soudain, alors qu’il maintenait son dard plaque tout au fond de moi. Je le sentis vibrer, serrer mes hanches entre tes mains, il se tut. L’onde inexorable du plaisir envahit mon corps ; je me mis a trembler, d’abord des jambes puis de mes fesses, de mes hanches, de l’entrée de mon cul qui semblait se refermer sur sa queue comme pour mieux l’aspirer. Il poussa un grognement terrible, de son ventre plaqua mes fesses très fort sur le canapé. Je criai un râle de plaisir, long cri de jouissance, accompagne de soubresauts et frissons…Je sentis alors sa semence me remplir, tandis que le mienne s’étalait sur le cuir. Il m’embrassa le cou, sans modération. Il s’abandonna de tout son poids sur moi. Je réussis, a me dégager. Il se tourna, et dans un mouvement encore plein d’envie, je me mis a lécher sa queue. Il se redressa, se mit debout, me souleva comme une plume, m’amena dans sa chambre obscure, me posa sur son lit immense, alluma une veilleuse rouge. Ouvrit les draps soyeux. Nous nous retrouvâmes l’un contre l’autre, jambes enchevêtrées, nous embrassant a pleine bouche. Il me serrait dans ses bras et une de mes mains enserrait son sexe déjà ou encore dur quand nous nous endormîmes. Lorsque je me réveillai, j’étais en position fœtale, lui tournant le dos. Mon oncle dormait, mais son sexe très dur était a l’entrée de mes fesses. Je me levai, et sur la pointe des pieds, partis dans la salle de bains. Devant le miroir, je recommençai minutieusement mon maquillage. Apres l’avoir rendu plus outrancier, notamment en épaississant les lèvres, en noircissant mes paupières et en ombrant davantage le contour de mes yeux, la femme que j’eus alors devant moi me parut un peu plus garce que la précédente, plus allumeuse, plus salope.     Quand je revins dans la chambre, Luc dormait encore. Sur la table de nuit, un tube de lubrifiant était posé la, comme préparé à l’ avance. Il ya avait aussi une assiette, avec une ligne de poudre blanche et un billet de banque roulé. J’esquissai un sourire. « Tout a l’heure… » Pensai-je. Mon oncle dormait…En soulevant le drap je vis son braquemard, tendu. Je décidai de le mettre en moi. Délicatement, je m’étendis sur le lit, J’enduis mon orifice intime de lubrifiant. Il n’était, d’ailleurs, plus aussi intime ce jour la et je poussai mon cul en arrière, faisant en sorte que sa bite se range en moi, tout au fonde de moi. Je l’entendis grommeler de plaisir. Je me rendormis, en essayant d’imaginer ce qu’allaient être ces vacances. Mon oncle m’avait jusqu’alors trouve  homme très doué dans son jardin potager le jour. Il attendait certainement que je sois « femme très douée » dans son jardin secret, nuits et jours.

 

 

Lorsque j’ouvris les yeux, une belle surprise m’attendait. Je compris pour quoi je m’étais éveillé. Le sexe de Luc allait et venait en moi, sur toute sa longueur, a un rythme, lent sauf quand, presque sorti de moi, il s’enfonçait soudain sur plusieurs centimètres, avant de partir dans mes profondeurs les plus intimes. Je fermai les yeux, je sentis ses deux mains chaudes me caresser les hanches, la taille, puis doucement, avec des mouvements circulaires de tous les doigts, tantôt avec les ongles, tantôt avec l’extrémité pulpeuse et chaude de ses doigts, ses mains atteignirent mes seins. Il me pinça doucement en alternant, sein gauche et sein droit, puis les deux ensembles. C’était la première fois que quelqu’un me caressait ainsi les seins. Sa bouche chaude et humide, entourée de ses poils de barbe,  m’embrassait l’oreille. Dans un souffle, il me murmurait des choses à la fois très tendres et très directes : « oui ma petite chatte, remue tes fesses, ouvre les bien, accueille moi en toi. Vas y chérie, bien a fond, la,  ma toute belle tu es a moi et je suis dans ton cul bien chaud…Dans un sifflement, il me susurra : « mets toi a quatre pattes, comme une chienne. Avant qu’il me le répète, je m’installais, bien cambrée au milieu du lit. Son membre, un moment sorti, se replaça a mon entrée, et c’est moi-même qui d’un coup de pouce, le propulsa au fond de mes entrailles. Il coulissait et allait se frottait au fond de moi. Je me mis a gémir de plaisir. Je me mis a frissonner de nouveau. Soudain, la silhouette de Luc se dressa a l’entrebâillement de la porte, un appareil de photo dans les mains….Mais qui était donc en moi? Je me tournai brusquement et je reconnus immédiatement l’homme: Moki, un antillais d’environ 25 ans, grand athlète d’ébène, au torse puissant, aux abdominaux dignes des plus beaux gymnastes. C’était ses mains noires qui tenaient et caressaient mes hanches. Elles continuaient d’ailleurs a un rythme effréné a balancer mon cul d’avant en arrière, en faisant taper l’extrémité de son gland si long, si épais, si dur, au fond de moi. Je m’écriai ; « merde !… » Mais aussitôt, avec un grand sourire aux lèvres, je me tournai vers Luc et son appareil,  je me remis en position, cambrai encore plus mes reins, et me mis a onduler au même rythme.  Luc, pendant ce temps nous mitraillait de prises de vue. Puis il posa l’appareil sur son trépied. J’eus le temps de voir qu’il l’avait mis en position camera. Il se mit a genou devant moi, il m’écarta délicatement les cheveux. Son sexe gonfle sortit de son short qu’il enleva prestement. Je le pris en bouche. Ou plutôt, ma bouche l‘engloutit. Moki et Luc, se mirent a me pénétrer au même rythme. Leurs sexes étaient devenus de véritables bâtons chauds, « Regarde comme elle aime ca, la salope,…Mmmm, on s’est trouve une bonne pute pout tout l’été…On va l’amener partout avec nous, dans nos petites sauteries. On va la présenter a la jet set de Nice..Ils vont se faire un plaisir de justement lui faire découvrir le monde du plaisir…. Je sentis comme mon cul s’ouvrir, le sexe de Moki partir encore plus loin. Je vis sa main noire partir, me caresser le ventre. Sa bite tournoyait tout en allant et venant en moi. J’embrassai à pleine bouche le gland de Luc. Je me dégageai soudain pour laisser l’entrée de mon cul à Luc. « Oui d’accord, chacun son tour…Dix fois l’un et dix fois l’autre » Il s’enfonça, et mon cul se pressa d’aller contre ses cuisses. Il l’avança, l’amena a lui de nouveau. Je pris le sexe noir de Moki dans ma bouche. Lui donna des bisous bruyants sur son extrémité, lui lécha a petits coups de langue l’orifice. Apres plusieurs délicieux coups de piston Luc cria, « Allez Moki a toi, prends la, notre petite pute.. » Le sexe énorme de Moki se glissa en moi comme un serpent. Il entra très loin dans mes fesses qui ne demandaient que cela. . Il se pencha, me prit les deux mains. Les mit dans mon dos. Il me força a me mettre bien a plat ventre. Et soudain, de concert, Luc et Moki poussèrent un terrible râle. Moki sortit son sexe le porta sur mon postérieur et tandis que leur râle se faisait plus fort je sentis le jet de leurs spermes atteindre mes fesses et  mon dos. Ils restèrent a genoux quelques secondes puis se couchèrent a mes cotés. Chacun d’un coté. Je me tournai sur le dos. L’un enfonça deux doigts en moi et me prit un de mes seins entre les doigts. L’autre commença a me pincer le deuxième sein, et entreprit de me masturber très tendrement, puis de plus en plus vite, de nouveau lentement. Encore une fois, un immense tremblement m’envahit. Leurs deux corps muscles de males se plaquèrent contre le mien qui se fit très femelle. J’écartai très largement mes cuisses, et me mis à hurler en les embrassant tous les deux, a pleine bouche l’un après l’autre. Quand je quittais la bouche de l’un il se mettait a me lécher l’oreille, la mordiller, y promener la langue…Je sentis déferler sur moi la rafale de la jouissance, la vague du plaisir, et c’est dans leurs mains réunies sur mon sexe qu’ils caressaient a deux maintenant, que ma semence partit, chaude, blanchâtre, marquant la fin de cette fantastique sieste. Apres cette ébullition de plaisir, leurs baisers se firent moins vifs, mais plus tendres et plus mouilles. Tous les trois, nous nous assoupîmes.

La nuit commença. Elle fut troublée par des étreintes passagères et pleines de sensualité.

 

Parfois je me réveillai en sentant le sexe de mon oncle entrer en moi, parfois ce fut la bouche de Moki qui me léchait le cul avant qu’il ne se couche sur moi, de presque de tout son poids, sexe tendu et pénétrant dans mon antre charnue, mouillé de salive, empli de lubrifiant, ouvert.

 

En me réveillant cette fois ci, je fus presque déçu de ne sentir personne contre moi. Les rideaux, à peine tires, laissaient largement passer la lueur forte du jour. En position fœtale, j’aperçus le réveil. Il était déjà 9 heures du matin. En posant mes mains sur mes cuisses, je sentis leur peau douce et me mis a me caresser langoureusement le ventre, les fesses, les avant bras. L’épilation que j’avais réalisée la veille dans la salle de bain avait porte ses fruits. J’étirai l’ensemble de mes membres, en les écartelant au maximum. Je m’assis sur le bord du lit. A cote du réveil, un petit carton m’invitait : « Rejoins moi a la piscine pour le petit déjeuner ».

 

J’entendis le bruit d’un plongeon et j’aperçus le corps de mon oncle dans la piscine. « J’y vais toute nue », pensai je avec un sourire, décidée a employer désormais le genre féminin pour moi. Haut perche sur mes escarpins, bouche encore bien formée et pulpeuse, léger maquillage aux yeux, je descendis les escaliers en prenant une démarche provocante sans m’en rendre compte. Dégagée de mes chaussures, je me glissai dans l’eau. Elle était d’un bleu azur. Apres quelques brasses, je rejoins Luc. Mes jambes lisses s’enroulèrent autour de sa taille. Il soutint mon cul avec ses mains et m’embrassa a pleine bouche.

« Tu es géniale ma chérie. Moki m’a dit qu’il n’avait jamais été aussi excité, …et c’est comme moi ».En me parlant, il chatouillait du bout de ses doigts l’entrée de me fesses. Je les serrai et me mit debout pour enfermer deux doigts qui se faisaient plus canailles. Il les enfonça un peu plus. Je l’embrassai a pleine bouche. « Bon, on va se prendre le petit déjeuner, d’accord ? »Je lui souris pour acquiescer.

Il sortit de l’eau passa une serviette autour de la taille. « Attends-moi ici ». Quand il revint, j’étais sous le châtaigner, assis au bord de la table. Il amena sur un plateau tout ce qu’il fallait : café, chocolat au lait, toasts, croissants, beurre, miel, confiture.

« Bon, comme au bon vieux temps, on va dresser le programme de la journée…

D’abord ce matin on farniente au bord de la piscine...OK ?

Cet après midi, je dois aller au bureau mais Moki viendra te tenir compagnie jusqu'à 18h. Il a ensuite un rendez vous. Mois j’arriverai vers 19h. Et ce soir je t’amène au resto. Ca te va, ma chérie? ».

Je lui répondis « oui, chéri, bien obligé ! » d’un air boudeur. Il n’allait pas être la l’après midi et la présence de deux hommes a coté de moi m’avait tant excitée. Nous prime avec plaisir nos cafés, chocolats et autres tartines. Et tous les deux, nus sous les rayons un peu cassés par le feuillage du châtaigner nous nous étendîmes sur un grand matelas de plage, épais et doux. Très vite nous nous enlacèrent. Nos jambes se frottaient l’une contre l’autre. Nos mains passaient sur l’entre jambe de l’autre.. Mon oncle pénétrait sa langue chaude dans ma bouche. Elle courait sur mes gencives, s’enroulait autour de ma langue, puis il m’embrassait une de mes oreilles. Sa peau rugueuse et la douceur de sa langue chaude et mouillée me donnaient des frissons. La chair de poule m’envahit. Mon oncle le perçut au bout de ses doigts qui couraient sur mes cuisses. Il me prit mon sexe à pleine main. Je décidai de me retourner pour sentir le sien très raide et très chaud pointer a l’orée de mon cul. Il poussa un peu, l’orienta et puis poussa lentement, subtilement, progressivement, tandis que sa main masturbait mon sexe devenu aussi très dur. Notre étreinte dura ainsi plusieurs minutes. Sa main allait et venait, douce et experte. Je me mis a agiter un peu mes fesses, le forçant a aller plus profond, je poussai même très fort contre lui. En même temps, nous accélérâmes la cadence, lui de sa main enroulée autour de mon sexe moi de mes fesses qui aspiraient sa bite chaude …Dans un cri de plaisir, notre jouissance chaude jaillit, la sienne en moi, la mienne dans ses mains.

Il se dégagea de moi et de nouveau nous nous fîmes face, enroulant nos langues et nos jambes, serrant l’autre contre soi, conscient du degré de plaisir auquel nous étions arrivés.

Ses baisers, même sur ma joue ou dans mon cou, étaient accompagnes de tendres caresses faites du bout de ses doigts, parfois de ses ongles, comme une griffure tendre. « Tu es ma chatte et je suis ton chat ». Tout mon corps prenait plaisir. Ses mains et ses lèvres passaient partout: mon dos, mon ventre, l’intérieur et l’arrière de mes cuisse, mes pieds , mes aisselles.

Puis il se mit sur le dos. « Allez fais moi un bon massage ! »

« D’accord mais un massage sage, mets toi d’abord sur le ventre !» Il obéit aussitôt. Je pris un flacon d’huile solaire qui était la, en versai dans mes mains puis sur ses épaules, et j’entrepris avec la pulpe de mes pouces de lui masser le haut du dos. Mes deux pouces remontèrent de part et d’autre de sa colonne vertébrale dans une pression continue. Puis je recommençai mais cette fois ci en alternant pression et non pression, pour finir dans son cou, haut derrière le crane, la ou s’arrêtent les tendons des muscles d’épaule. Mon oncle ronronnait de plaisir. Et son plaisir me faisait du bien.   

 

Par Jennifer Aparis
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